En plus de 300 pages, Pozla raconte son combat avec la maladie de Crohn. Évitant avec une impressionnante créativité un trop grand réalisme, il va pourtant droit au but et n’élude aucune réalité. En montrant que le dessin peut tout illustrer, jusqu’au plus profond de soi.
On aurait difficilement pu trouver un meilleur titre. Ce témoignage débordant de sensations extrêmes est aussi un indispensable anti-dépresseur pour Pozla, aux prises avec la maladie de Crohn, diagnostiquée presque trop tard. Comme un (...)