Gilles Rochier continue sa fresque au sein du quartier. Avec "Faut faire le million", il reprend son personnage autofictif et percute le lecteur avec la précarité, avec l’espoir qui s’amenuise en vieillissant, et sa dépression. Rudesse graphique et finesse d’écriture y font se rejoindre malaise social et mal-être psychologique.
Gilles Rochier a commencé avec Temps mort paru en 2008 une série qui parle de lui, de son quartier, de ses copains et de la merditude des choses. Plus tard avec TMLP (Ta mère (...)