Avec sa série « Dora », l’Argentin Minaverry nous fait percevoir une Europe de l’après-guerre aux clairs-obscurs subtils bien plus aboutis que bien d’autres BD sur le sujet. Une série de référence qui parle de Shoah, de politique, de sexualité et plus généralement d’engagement.
Nous sommes en 1960 et tout commence dans des archives : celles que le Département d’État des États-Unis (leur ministère des affaires étrangères) gère depuis 1953 dans le « Berlin Document Center » où se retrouvent rassemblées les (...)