Biographie littéraire, polar mené du bout de la mine d’un crayon, SH & BD (oui on aime bien les acronymes) & exil transatlantique sont au rendez-vous de ce 17ème épisode du 48/64 ! Une émission traversée par les questions de la mémoire et de la transmission et ponctuée par les apparitions de Théo et Marlène.
L’émission s’ouvre sur une météo des bulles un peu particulière puisqu’il y est bel et bien question d’actualité, mais littéraire cette fois, vous savez les vrais livres là ? La bande dessinée (...)
Jeanne Puchol
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Le 48/64 EP. 17 : Héctor, Eye Contact, Le Genre du capital & Garafia [PODCAST]
5 juin Thomas FIGUERES Louis GROULT Sacha PUAUX Léo JACQUET Manon DIAS SANTOS -
Le Genre du Capital – Par Céline Bessière, Sibylle Gollac et Jeanne Puchol - Delcourt
17 mai Damien BooneL’analyse des inégalités de patrimoine (et de leur accroissement) est source de nombreux travaux en sciences humaines et sociales. Cette adaptation en bande dessinée d’une remarquable étude de deux sociologues françaises les aborde par un de ses angles morts : le prisme du genre. Si le fond du propos est souvent passionnant, certains choix narratifs et graphiques atténuent le plaisir de la lecture.
Pourquoi l’égalité hommes/femmes, inscrite dans la loi, se heurte dans les faits à tant d’inégalités (...) -
Mitterrand et ses ombres - Par Patrick Rotman & Jeanne Puchol - Delcourt
9 juillet 2021 David TAUGISAnnées peu reluisantes dans la carrière du Président français, la période 1954-1959 est racontée ici en forme de secrets révélés a posteriori. Un album à charge, tout en dialogues.
Bien avant d’être Président de la République, François Mitterrand a connu une carrière de ministre sous la quatrième République. Une période durant laquelle sa vie, privée comme publique, est très mouvementée. Quant au contexte politique, il se situe au croisement de deux guerres liées à la décolonisation : Indochine, puis Algérie. (...) -
L-F Bollée ("Contrecoups") : "Dans cette bande dessinée sur l’Affaire Malik Oussekine, nous voulions raconter tout ce qui s’était passé."
7 juin 2016 Christian MISSIA DIOLe 6 décembre 1986, un jeune étudiant franco-algérien du nom de Malik Oussekine trouvait la mort suite à une bavure policière. Près de trente ans après les faits, Laurent-Frédéric Bollée et Jeanne Puchol se souviennent.
Contrecoups raconte l’affaire Malik Oussekine, ce jeune étudiant franco-algérien victime d’une bavure policière. Pourquoi avez-vous tenu à traiter cette histoire en BD ?
Laurent-Frédéric Bollée : Parce que je pense qu’elle renferme beaucoup d’ingrédients forts. Cette affaire m’a beaucoup (...) -
Jeanne Puchol et Laurent Galandon ("Vivre à en mourir") : « Peu de livres d’histoire nous offrent la dimension humaine des protagonistes. »
4 juin 2014 Didier Pasamonik (L’Agence BD)"Vivre à en mourir" (Le Lombard) est un des livres choc du printemps. Il intervient au moment où à Bruxelles une terrible tuerie a frappé le Musée juif de Belgique. Un événement qui à lui seul justifie la publication de cet ouvrage.
Vous nous racontez le destin de l’un des membres de l’Affiche rouge. En quoi ce groupe est-il symbolique d’une certaine forme de résistance ? Laurent Galandon - Les membres du groupe Manoukian étaient de confessions, d’âges et d’origines très différents, très (...) -
Moi, Jeanne d’Arc - Par Valérie Mangin et Jeanne Puchol - Des ronds dans l’O
14 mai 2012 François BoudetEt si Jeanne d’Arc était une sorcière ? Une "Sorcière" telle que l’Église appelait ces femmes libres qui préféraient choisir leur destin plutôt que de se marier ou devenir religieuses.
C’est le parti-pris de Valérie Mangin qui opte pour cette version de Jeanne d’Arc à contre-courant de l’image que l’on a d’elle aujourd’hui, récupérée politiquement par l’Église et l’extrême-droite nationaliste. C’était oublier, comme l’écrit Valérie Mangin dans une très belle préface, "que Jeanne a longtemps été un symbole de (...)