En Chine, à la fin des années 1940, les Japonais viennent de quitter le continent, mais rapidement, la paix entre le Kuomintang et les communistes vole en éclats. Face à l’avancée des troupes rouges, les populations se révoltent contre les bourgeois et les propriétaires terriens. Premier album traduit en français de Fish Wu, ce récit est celui d’une famille au destin tragique.
Lorsque des soldats de l’Armée de Libération arrivent dans la petite ville où vit paisiblement la famille Shen, les foules (...)
Rue de l’Échiquier
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Lettres de Taipei : la vie des parias sous la révolution chinoise
27 mars Jorge Sanchez -
Le 48/64 EP. 17 : Héctor, Eye Contact, Le Genre du capital & Garafia [PODCAST]
5 juin 2023 Thomas FIGUERES Louis GROULT Sacha PUAUX Léo JACQUET Manon DIAS SANTOSBiographie littéraire, polar mené du bout de la mine d’un crayon, SH & BD (oui on aime bien les acronymes) & exil transatlantique sont au rendez-vous de ce 17ème épisode du 48/64 ! Une émission traversée par les questions de la mémoire et de la transmission et ponctuée par les apparitions de Théo et Marlène.
L’émission s’ouvre sur une météo des bulles un peu particulière puisqu’il y est bel et bien question d’actualité, mais littéraire cette fois, vous savez les vrais livres là ? La bande dessinée (...) -
Un matin de ce printemps-là - Par Park Kun-woong - Rue de l’Échiquier
22 décembre 2021 Jorge SanchezLe 9 avril 1975, à l’aube, dix-huit heures après avoir été condamnés à mort, huit hommes sont exécutés à huis clos dans la prison centrale de Séoul. Leur crime ? Être des espions communistes pour le compte de la Corée du Nord. Le seul inconvénient est qu’ils sont tous innocents. Ils ont été choisis au hasard comme boucs émissaires, pour marquer les esprits… Nouveau coup de gueule d’un des grands auteurs de la Corée du Sud. Politiquement engagé, Park Kun-woong nous livre l’un de ses récits les plus durs, avec (...)