Les Éditions FLBLB en ont décidé ainsi : 2022 sera l’année du roman-photo. Pourquoi donc ? Tout simplement car le roman-photo, genre quelque peu méconsidéré aujourd’hui, a toujours fait partie de la ligne de l’éditeur qui fête ses vingt ans cette année ! Et quoi de mieux qu’un retour aux sources pour célébrer ces deux décennies de publications ? Avec un joli programme à la clé.
Les Éditions FLBLB l’ont décrété unilatéralement : 2022 est l’année roman-photo ! Après tout, le Ministère français de la Culture a (...)
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Julie Chapallaz : "J’ai envie de projeter le lecteur dans une forme d’illusion rêvée" [VIDEO]
3 mai Thomas FIGUERES Frédéric HOJLO -
Avaler la Terre - Par Osamu Tezuka – Ed. Flblb
28 décembre 2021 Didier Pasamonik (L’Agence BD)Ses fans le savent : Osamu Tezuka (1928-1989) n’est pas n’importe qui. Les Japonais le surnomment « Le Dieu des Mangas ». Pourquoi ? Parce qu’il est à la fois le plus grand auteur des mangas de l’Histoire, celui que tout créateur japonais a en ligne de mire -un peu comme Hergé chez nous. Il est aussi l’un des principaux fondateurs de l’animation japonaise, une sorte de Walt Disney Japonais, pour ainsi dire. C’est d’ailleurs le tycoon de Burbank que le créateur japonais avait en ligne de mire.
Son (...) -
Festin babylonien pour princesse égyptienne - Par Zelda Pressigout, Grégory Jarry & Hélène Bouillon - Éditions FLBLB / Le Louvre-Lens
1er septembre 2021 Frédéric HOJLOLes Éditions FLBLB, en collaboration avec Le Louvre-Lens, proposent ce qui est une rareté dans leur catalogue : une bande dessinée jeunesse. Consacrée à la gastronomie de la Haute Antiquité, en particulier de l’Égypte et de Babylone, elle associe une histoire humoristique et des recettes authentiques. Un petit régal.
La crise diplomatique entre le pharaon Akhenaton et le roi babylonien Bournabouriash est sévère ! L’amitié entre les deux souverains des plus célèbres civilisations antiques était pourtant (...) -
La Fin de Juillet - Par Maria Rostocka - Editions Flblb
5 mai 2021 Pierre GARRIGUES“Il n’y a rien à faire. C’est la fin de juillet.” Par ces deux phrases laconiques, la quatrième de couverture donne le ton : dans les 120 pages de la Fin de Juillet, le temps s’écoule lentement.
Parfois, Maria Rostocka décide de consacrer une page entière à un morne terrain vague bordé de maisons grisâtres, écrasées par un ciel pâle - les paysages estivaux de sa Pologne natale. La torpeur, l’apathie envahit tout, même cette case, uniquement remplie du triste gazon du terrain vague.
C’est un cri du cœur, (...)